| 
                     Tête de caractère de
                     Franz Xaver Messerschmidt Messerschmidt, qui commença sa
                     carrière comme sculpteur à la cour
                     de Vienne, réalisa, après 1770,
                     une série de têtes
                     grimaçantes, dérivations
                     singulières de son autoportrait.
                     L'oeuvre, exposée au Louvre,
                     représente un homme au visage
                     déformé par la douleur, les yeux
                     fermés, une bandelette posée sur
                     les lèvres (une allusion aux
                     expériences sur le magnétisme du
                     docteur Mesmer, ami du sculpteur). Elle est
                     caractéristique de ce reflet
                     grinçant des Lumières qui est
                     aujourd'hui si abondamment commenté. Messerschmidt, who began his career as
                     sculptor in the Vienna's Royal Court, realized
                     after 1770 a series of contorted heads, singular
                     translation of its self-portrait. The work,
                     exhibited in Le Louvre in Paris, represents a
                     man, the face deformed by the pain, blindly, a
                     strip put on lips (an allusion to the
                     experiments on the magnetism of the doctor
                     Mesmer, a sculptor's friend. It is
                     characteristic of the reflections on the
                     Enlightenment time which is commented today so
                     abundantly. L'Homme qui bâille - 1771-1781 -
                     Étain - Budapest,
                     Szépmuývészeti Múzeum |